Salope Occitane
Exhibée en boite de nuit
Une soirée au Diams |
Les beaux jours sont revenus, la chaleur est au rendez-vous.
Je m'ennuie dans cette ville, après notre déménagement, mes connaissances me manquent. Pour me changer les idées, mon chéri a mis en ligne quelques photos de moi avec un texte relativement explicite. (Recherche plusieurs hommes susceptibles d'exhiber mon épouse dans des soirées, discothèques, bars et autres) Je sais que mon mari a reçu quelques propositions de soirées. Nous sommes mardi en fin de journée, il reçoit un appel.
— Salut, j'ai un client qui est propriétaire de la boîte de nuit, le Diams, vous connaissez?
— Oui c'est pas loin.
— Je viens de discuter avec lui, il vous propose de mettre en place une soirée particulière.
— Pourquoi pas.
— Je peux vous assurer qu'elle sera surprise, je vous donne son 06, appelez-le, vous verrez bien.
Sitôt raccroché, je le contacte, il m'explique dans les grandes lignes son projet pour cette soirée. C'est un homme très agréable, après avoir répondu à toutes mes questions, je trouve sa proposition très alléchante, elle qui aime certains contextes, elle va être servie. Après avoir donné mon accord, il me propose une date approximative, le temps de tout mettre en place, service de sécurité, pub, etc. Concernant la publicité, il me demande de lui fournir quelques photos pas trop dénudées de Lyliane pour préparer les affiches qui seront placardées dans certains commerces. Quelques flyers VIP plus osés servant d'entrée gratuite seront donnés à certaines personnes.
Quelques jours plus tard, il me fait parvenir le projet. Le Diams, vous fait découvrir le samedi 17 juin la nuit du hard avec Lyliane, (soirée pour adultes avertis). Après l'avoir visualisé, j'ai du mal à me calmer, j'imagine la tête de Lyliane quand elle se verra en affiche, le projet est bouclé, la soirée est prévue pour le 17 juin.
(À partir de maintenant, je laisse la main à Lyliane pour la suite de l'histoire.) Je ne sais pas ce qui se trame, je trouve mon chéri très excité depuis quelques jours, je sais qu'il me prépare une surprise, mais il refuse d'en parler, il m'a seulement dit de ne rien prévoir pour le 17 juin. Depuis quelques matins, je me suis rendu compte que lorsque je m'arrête prendre mon café dans un bar de la ville, les hommes me regardent bizarrement, même le serveur est différent. Je décide de lui demander la raison de tout ce mystère, il me demande de le suivre jusqu'à la porte d'entrée où il me désigne une affiche. Du coup, je ne comprends pas pourquoi, puis je réalise que c'est moi au trois quarts nue sur le papier.
— Alors Lyliane, vous nous faites des cachotteries.
— Je viens de le découvrir à l'instant.
— En attendant, je vous félicite, vous êtes charmante.
— Merci, c'est gentil.
— Ne parlons pas des flyers, là vous êtes à tomber, regardez.
— Je me découvre intégralement nue sur une photo relativement osée.
— Je pense que je ne vais pas être le seul à venir vous voir demain.
Sous le coup de la surprise, je ne dis rien, je sens mes cuisses s'humidifier.
De retour à la maison, je me retrouve sur le pas de la porte avec mon chéri, il voit très bien à ma façon de le regarder que je suis au courant.
— Au fait, j'ai eu une surprise tout à l'heure, je me suis arrêtée au bar, je les trouvais bizarres et le barman m'a montré l'affiche ainsi que les flyers.
— Et?
— Rien de particulier si ce n'est que je le sentais très excité, il m'a dit qu'il serait présent demain soir.
— Et tu l'as laissé comme ça?
— Évidemment, tu aurais préféré que je m'amuse avec lui.
— Bien sûr.
Nous sommes samedi, il me semble que le temps s'accélère, je n'ai pas vu la journée passer, je sors de la salle de bain, nous sommes déjà en fin d'après-midi, je me sens fébrile, je n'en peux plus, je résiste depuis le début de l'après-midi à l'envie de me caresser, c'est de plus en plus dur de résister.
Je suis toute retournée, je ne sais pas pourquoi je réagis comme ça, d'habitude je suis plus zen, mais ce soir c'est différent, je suis l'attraction de la boite de nuit, je ne sais pas comment ça va se passer et en plus avec cette publicité, je suis partagée entre la peur de rencontrer certaines personnes et le désir de m'exhiber...
J'entre dans ma chambre pour choisir ma tenue, je trouve une petite robe posée sur le lit. Décidément, mon chéri pense à tout, en deux minutes, je suis habillée, moi qui pensais trouver une robe ultra-sexy, je suis surprise, elle est relativement sage pour une soirée. J'en fais part à mon homme qui me répond qu'il vaut mieux ne pas être trop sexy, on ne sait jamais. Je n'y comprends plus rien, en me dirigeant vers la voiture, je ne sais plus quoi penser.
Une quinzaine de minutes plus tard, nous arrivons devant la discothèque, il y a déjà plusieurs voitures stationnées, un vigile nous attend devant une porte située à l'arrière de l'établissement. Nous entrons dans une grande réserve avant de pénétrer dans un bureau pas trop éclairé, c'est surprenant, je vois des personnes danser en face de moi derrière une vitre, un homme se lève de derrière un bureau en disant de ne pas m'étonner, c'est une glace sans tain.
Mon mari et lui ont l'air de bien se connaître, je suis rassurée, finalement, ils voulaient sûrement me faire peur, c'est réussi pour le coup. Dans un coin de la pièce, je remarque un canapé d'angle, en s'y asseyant, il me demande si je désire boire un verre, je réponds par l'affirmative, une bouteille apparaît comme par magie au moment où je m'assieds à côté de mon homme.
Nous discutons de tout et de rien, je m'aperçois que je suis la seule à boire, ça m'est égal, je me sens beaucoup mieux maintenant. En discutant, il commence par me faire une visite virtuelle de son commerce en commençant par le carré VIP avec plusieurs tables entourées de canapés, plus bas sur la droite un grand bar, face au bar, de nombreux box avec l'accès sur une grande piste de danse et plus bas les toilettes.
— Maintenant que tu connais le club, nous allons pouvoir commencer la soirée. Quoi qu'il se passe, tu seras toujours en sécurité, j'ai doublé le nombre des vigiles, ton travail, si je peux m'exprimer ainsi consistera à te laisser faire et profiter au maximum de ta nuit.
— Tu es prête?
— Oui je pense que ça va aller.
— Bon OK déshabille-toi, tu ne gardes que les talons.
Je suis surprise, je ne m'y attendais pas, mais je m'exécute immédiatement. Je suis de plus en plus excitée. Une ombre sort d'un coin de la pièce, c'est un black énorme, il m'est présenté comme mon garde du corps personnel, je suis sous le charme de cet homme massif avec des bras plus gros que mes cuisses. Il me retourne pour fixer un collier autour de mon cou, auquel il ajoute une laisse en métal. Tout le monde a l'air satisfait. Une porte s'ouvre, un flot de décibels inonde la pièce. J'entends la sono dire que la soirée du hard va commencer, nous allons vous présenter Lyliane. La laisse se tend, je n'ai pas le choix, je suis obligée d'avancer. Je reconnais le salon VIP, nous descendons quelques marches, j'essaye de ne pas me vautrer devant tout le monde avec mes talons. Nous arrivons sur la piste de danse, c'est la folie, tout le monde est debout, ça siffle, ça hurle. Mon vigile me fait mettre à quatre pattes, il me promène tout autour de la piste en me faisant prendre des positions obscènes. J'entends clairement (je n'aurais pas cru que ce soit une salope), ce doit être une personne qui me connaît, au lieu de me faire honte, c'est tout le contraire qui se passe, je vais leur montrer!
Le tour de piste effectué, mon guide m'emmène dans un box où il me fait mettre à genoux devant un jeune homme, il me semble que je l'ai déjà vu, mais il y a tellement de monde, je ferme les yeux, je sens des mains me peloter.
J'entends une voix qui ne m'est pas inconnue.
— Je t'avais bien dit que nous serions plusieurs pour venir te voir.
J'ouvre les yeux et le regarde interrogative
— Tu ne me reconnais pas, je vais t'aider, je te vois tous les matins.
— Ça y est je sais, tu es le serveur du bar!
— Oui et je ne regrette pas d'être venu, tu caches bien ton jeu!
Je fais le tour des sièges en passant de l'un à l'autre, je remarque que la piste de danse est à nouveau remplie de monde. En sortant du box, je ne reste pas seule longtemps, plusieurs personnes sont maintenant autour de moi, une jeune femme se met à martyriser et étirer mes tétons avec ses ongles pendant qu'une autre fouille mon sexe brutalement tout en pinçant vicieusement mon clito. C'est trop, je commence à jouir de toutes ces maltraitances.
Après m'être désaltérée au bar, je me retrouve à sucer plusieurs hommes dans les toilettes.
De retour dans la boite, un homme m'assied sur un pouf pour me présenter son sexe, je commence à le sucer, d'autres attendent maintenant leur tour, les uns après les autres, je pompe toutes les bites qui se présentent sous les insultes de certaines femmes (ce sont et de loin les plus désagréables).
Je suis maintenant dégoulinante de sperme, les yeux me brûlent, je ne dois plus ressembler à grand-chose quand on m'emmène au carré VIP. Plusieurs garçons sont déjà assis, la queue à la main, je m'avance et enjambe le plus proche, son sexe n'est pas forcément gros, mais il est tellement dur que je le sens progresser dans mon intimité. J'ai tellement envie que je me défonce sur lui, je sens trop rapidement le préservatif se remplir de son sperme brûlant, quel dommage de le gâcher ainsi. Je me mets à genoux sans le quitter des yeux, la bouche ouverte, il comprend mon message muet, je le regarde retirer son préservatif, ça a l'air de lui plaire, il recommence à bander en le vidant dans ma bouche.
A de nombreuses reprises tout au long de la soirée, on m'emmène au coin VIP pour plus d'intimité. On me traite de pute, je passe d'un mec à l'autre avec un plaisir sans cesse renouvelé.
Mon mari, en bon candauliste, vient me féliciter, je lui dis cependant que de nombreuses personnes m'ont prise en photo tout au long de la nuit malgré l'interdiction, il ne sait quoi me dire. Je lui avoue que ça m'excite beaucoup de m'exhiber devant les portables. Il n'y a plus grand monde dans la boîte, je suis allongée impudiquement dans un canapé en bordure de la piste de danse les yeux fermés, je comate en repensant à cette folle nuit, moi qui voulais du changement, j'ai été servie. Je sens une présence à côté de moi, j'ouvre par réflexe le compas de mes cuisses. Je reconnais la voix de mon mari.
— Tu n'en as jamais assez quand tu sens un mec, tu écartes les cuisses!
— Oui mon chéri, c'est vrai tu n'as pas tort, tu m'as habituée comme ça.
— Tu es une grosse salope.
— Justement il va falloir que l'on discute tous les deux, je veux être sûre de tes désirs.
— Oui ma chérie, tu peux faire ce que tu veux.
— Je comprends bien, mais je ne veux pas abuser, j'ai eu tellement de propositions cette nuit.
— Fais-toi plaisir, j'assume, par contre il me tarde mardi.
— Pourquoi.
— Je pense que tu vas avoir ton fan club qui va t'attendre.
— Que tu es bête.
— Tu penses ce que tu veux, mais d'après moi tu vas avoir du succès.
Après cette discussion, je me sens bien, mon mari est vraiment un amour, je me blottis dans ses bras pour le remercier, il adore me sentir nue contre lui. La nuit touche à sa fin, avant de partir, nous passons par le bureau pour faire nos adieux. Le patron du club me félicite pour cette soirée très agréable, il se retourne vers mon mari pour lui dire qu'il a une femme extraordinaire et de ne pas hésiter si nous avons envie de revenir. Nous sortons du bureau, à peine arrivé au niveau du bar, je dis à mon chéri, attends-moi, je reviens. Je rejoins à toute vitesse le bureau, le patron est surpris de me voir, il est sur le pas de la porte, je m'agenouille devant lui pour le prendre en bouche, quelques aller et retour suffisent pour le faire jouir. Il me remercie en me raccompagnant. Une fois sorti du club, nous marchons tranquillement dans la rue main dans la main vers notre véhicule, mon chéri me regarde en me disant :
— Tu es belle comme ça tu n'as rien oublié?
— Je lève les yeux vers lui, non je sais que tu aimes me voir alors profites-en!
À peine assise dans la voiture, je regarde l'heure, il est 6h15, je ferme les yeux de fatigue, je les rouvre en sentant un ralentissement. C'est mon coquin de mari qui se gare en bordure de la place de la mairie, il nous reste une rue à descendre et nous sommes pratiquement arrivés à la maison. Je le regarde avec un air interrogatif.
— Alors ma chérie tu es fatiguée on dirait, je vais te réveiller, descends de la voiture.
— Tu veux me faire rentrer à pied.
— Oui.
— Comme tu veux à tout à l'heure.
Me voilà partie, je longe la mairie pour emprunter la rue qui descend vers notre quartier, je me sens tellement bien après la chaleur étouffante de cette nuit, la fraîcheur matinale me fait beaucoup de bien, je marche tranquillement jusqu'à la maison
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Humiliation chez le notaire
Salle d’attente |
Cette histoire fait suite à la vente de notre commerce qui a été repris par deux amis, Daniel et Marc, qui me connaissent intimement.
Comme ils se croient en position de force, ils font une proposition très en dessous de sa valeur. Ce que nous refusons évidemment, mon mari et moi. Quelques jours plus tard ils prennent rendez-vous en fin de soirée, je suis contente de les voir revenir, c'est un signe qu'ils s'accrochent, c'est tout bon!
- Je vous sers un apéritif messieurs?
- Oui merci avec plaisir
Quelques verres plus tard, la conversation est plus détendue. La bouteille vide, je m'absente deux minutes pour aller à la réserve. Quand je reviens, mon mari dit :
- Chérie?
- Oui?
- Ces messieurs sont finalement OK pour acheter, mais ils veulent une compensation.
Tu vois avec eux, je ne peux pas décider à ta place!
- Dites-moi Messieurs?
- Nous sommes d'accord pour acheter au prix, mais à une condition. Tu dois bien avoir une idée…
- MDR, j'imagine qu'il s'agit d'une chose que l'on ne peut pas écrire dans l'acte, je présume?
- Tout à fait ma belle, on a demandé à ton mari et il te laisse le choix.
Je me doute un peu de ce qu'ils veulent. Je suis curieuse, mais je sens venir le piège.
- Tu vas faire partie de la transaction. Pendant une durée à définir, tu vas travailler pour nous!
- Sur le fond je suis d'accord, mais il faut voir les modalités.
Nous en restons là pour ce soir. Une fois seule avec lui, je demande à mon chéri ce qu'ils veulent exactement. Il me répond :
- Ils veulent s'amuser avec toi. C'est leur seule condition. Ils m'ont dit que c'est un retour sur investissement et que c'est à prendre ou à laisser.
Dès le lendemain, je leur dis que j'ai bien réfléchi, j'accepte leur proposition.
- Bien, tu as fait le bon choix. Dorénavant nous te contacterons directement, c'est plus facile! Dit Daniel.
- Par contre tu ne dis rien à ton mari, sinon tu te gardes tout ! Ajoute Marc.
- Nous allons faire rédiger un sous seing privé permettant de prouver, en cas de litige, que nous t'avons consenti un prêt d'un montant de 20 000 euros. Ce prêt, accordé par l'entreprise, sera remboursé au moyen de retenues successives sur tes salaires.
- Si tu es bien sage, tu n'auras rien à payer évidemment.
Voilà, je m'en doutais un peu. Ils m'obligent ainsi à travailler pour eux.
La promesse de vente se passe sans soucis chez leur notaire. Quand je les entends discuter, je réalise que le notaire a l'air de bien les connaître. Bref, il ne manque plus qu'à finaliser l'accord du prêt pour avancer vers la vente.
Quelques jours plus tard, mon mari reçoit un appel du notaire pour fixer la date du passage de l'acte. Le rendez-vous est pris pour le 18 mai à 14h00 à l’étude située dans une ville voisine. Il ne reste plus qu'à attendre, nous sommes relativement impatients. Nous commençons à voir le bout du tunnel comme l'on dit..
Deux jours avant le rendez-vous chez le notaire, je reçois un texto de Daniel.
- Salut miss pour notre rendez-vous tu viens avec ton petit imperméable (à poil dessous évidemment). Je veux faire baver notre pote le notaire! Tu m'enverras une photo avant de partir!
J'envoie un SMS pour leur signifier mon accord. Je n'ai plus vraiment le choix.
Nous sommes le 18 mai, il est 12h30. Comme convenu, j'envoie une photo qui a l'air d'être très appréciée vu le texto enflammé que je reçois.
Je n'ai pas droit à l'erreur, il faut que je fasse attention. L'imper est court et seule la ceinture le tient fermé. Je trouve que c'est exagéré, mais le choix est fait.
Une fois assise dans la voiture, je suis surprise en sentant mes fesses nues sur le cuir. Je remarque que l'imper est remonté. J'essaie de le descendre, mais le décolleté s’ouvre d’en haut. J'en fais la remarque à mon chéri qui me répond que je n'ai qu'à assumer.
- Les hommes, vous êtes tous des cochons!
Je ne suis pas tranquille, je me demande comment tout ça va finir.
Nous sommes pratiquement arrivés. Je vois Daniel et Marc qui attendent devant l'étude notariale. Mon chéri se gare juste devant l'entrée. Galamment, Marc ouvre la porte de la voiture. Je lui donne la main pour qu'il m'aide à me lever du siège. Évidemment l'imper s'ouvre, ça le fait rire. Daniel en profite pour me caresser les fesses tout en s'écriant :
- Dis donc on t'avait dit de mettre un imper et non pas de te mettre à poil en arrivant!
Marc ajoute :
- Regarde cette salope!
En me tenant fermement de sa main libre, il en profite pour me pincer les tétons. Mmmm c'est trop bon, j'adore ça. Ma chatte commence à s’humidifier. Quelle bande de petits salauds!
Et moi qui me laisse peloter sur le pas de la porte, ce n'est pas discret du tout.
Après avoir annoncé notre présence par un coup de sonnette, la porte s'ouvre, un clerc de notaire nous guide à la salle d'attente. Je suis tout à fait consciente que ma tenue est déplacée dans ce lieu. Je le vois dans le regard de cet homme. Il est certain qu'il doit me prendre pour une moins que rien. Tout d'un coup, je suis déstabilisée et gênée. Je ne sais plus où me mettre. Alors je prends Daniel à part et je lui fais part de mon malaise. Contre toute attente, il se met à rire et raconte mon mal-être à Marc ainsi qu'à mon mari.
- Notre salope a honte de sa tenue qu'elle juge déplacée.
- N'importe quoi!Il va falloir t'habituer et je te trouve parfaite. Répond Marc.
Une grande glace accrochée contre le mur renvoie mon reflet. Daniel commande alors :
- Fais voir, reste debout et retourne-toi.... Penche-toi!
Je m'exécute une boule au ventre. Je sens l'imper remonter. Je me retrouve le cul à l'air et je mouille...
- Je ne vois rien de déplacé. Seulement une salope qui montre son cul. C’est classique chez toi. En plus je vois que ça te plaît, tu es trempée.Regarde tes cuisses! Dit Daniel.
Je suis gênée. Je n'aime pas beaucoup que l'on me balance ces choses-là à la figure et pourtant je me sens couler...
- C'est vrai! Regarde ça! Ajoute Marc.
Je sens ses doigts me pénétrer tout en cherchant mon petit bouton. Je ne sais plus où me mettre. Je sens le plaisir monter et l'orgasme arriver. C'est terrible, je me mords les lèvres pour ne pas hurler de plaisir. Daniel se précipite pour me retenir. Je suis défaite, je n'ai plus de jambes, c'est énorme, fabuleux!
- J'espère que je n'ai pas été trop bruyante? Demandé-je en reprenant mes esprits.
- Mais non tu étais parfaite,. Et ne te prends pas la tête, le notaire est un vieux vicieux, il sera trop content de te voir! T'inquiète pas.
Je suis un peu tranquillisée pour la suite. Ces mots sont une bouffée d'oxygène. Je m'éclipse aux toilettes vite fait pour essuyer toutes les traces de mon plaisir. A mon retour, je vois que tout le monde m'attend. Alors je m'excuse.
Je trouve le notaire très plaisant. Je suis immédiatement à l'aise avec lui. Il n'est pas avare de compliments à mon égard, c'est très gentil de sa part.Alors que je suis assise dans un fauteuil, je vois bien qu'il n'arrête pas de me regarder. À un moment, Daniel me fait signe en écartant les mains. Je comprends tout de suite ce qu'il veut j'écarte les jambes, exhibant de ce fait ma fente mouillée de désirs.
Quelques minutes plus tard, je dois m'approcher pour apposer mes initiales sur chaque feuille de l'acte. Je me penche, consciente de la vue que j'offre à ces hommes. Je sens Marc s'approcher derrière moi. Tout en s'excusant il ouvre l'imper pour mettre mes seins à l'air. Le notaire reste fixé sur ma poitrine et ne tarit pas d'éloge sur ma plastique. D'un coup je suis beaucoup plus à l'aise et souriante. Je retrouve mon naturel. Je sens alors les mains écarter en grand les deux pans de mon vêtements.
Pour le notaire, c'est une première. Il n'a jamais vu une femme nue dans son étude. L'acte signé, au moment de partir, je veux remettre mon imperméable, mais il me demande d'approcher. Je m'exécute. Il recule son fauteuil. Le message est passé. Du bout des doigts, je caresse doucement son sexe que je sens gonfler sous le tissu du pantalon. Je me mets à genoux devant lui tout en sortant une belle queue bien épaisse que je commence à sucer avec beaucoup de plaisir. Quelques minutes plus tard, je le sens à la limite de l'explosion. Alors je me lève rapidement et je m'empale sur lui. Je sens la progression de sa bite dans mon sexe brûlant. Je me déchaîne littéralement quand je le sens grossir et éjaculer en moi.
Le temps de récupérer un peu, je me rhabille et rejoins les hommes qui attendent dans la salle d'attente. Nous sortons de l'étude, ils décident de s’arrêter un moment dans un bar du centre-ville pour fêter l'achat et la vente de notre commerce.
Je suis bien entourée en entrant dans l'établissement. Je sens les regards des consommateurs. j'entends même quelques bribes de chuchotements. A priori on me traite de pute. Ça ne m'étonne pas vu ma tenue. C'est tout à fait logique, avant d'entrer ils ont ouvert le haut de mon vêtement pour dégager ma poitrine nue pratiquement jusqu'aux aréoles. Heureusement que je suis accompagnée.
A peine installé dans un box un peu retiré situé dans le fond du bar, la main de Marc se cale entre mes cuisses. Comme il sent quelque chose de bizarre, il me demande d'écarter les jambes. De ce fait, je sens le sperme s'écouler sur la banquette ce qui me vaut une nouvelle humiliation, le serveur arrivant à ce moment-là!
- Mais quelle salope, elle a la chatte qui dégueule de foutre! Va te laver, vite! Dit Marc.
Ouais, je suis sûre que ce coup-là, il l'a fait exprès. Plusieurs personnes l'ont entendu et se sont retournés. Je sens leurs regards fixés sur moi quand je traverse la salle pour me rendre aux toilettes.
J'essaie de récupérer au maximum le sperme avec le papier toilette quand j'entends la porte s'ouvrir. C'est classique me direz-vous, mais franchement je me retrouve comme une conne en train de me nettoyer. Heureusement c'est seulement Marc. Il me dit que je ne suis pas discrète et que j'aurais pu m'enfermer. Je lui réponds que la porte ne ferme pas à clé.
Il m'entraîne alors dans le WC handicapé. Tout en me plaquant contre la cloison il ouvre mon vêtement. Il est tellement excité que sans aucune préparation, il m'encule violemment. Après quelques coups de rein, je le sens jouir. C'est trop bon, j'aime être traitée ainsi. Je suis encore sur un nuage quand il retire mon imperméable . J'essaie de protester, je me fais angueuler.
Je vois avec appréhension l'imper disparaître avec lui. Je me sens plus que nue et honteuse quand je vois des hommes arriver. Je suis rapidement entourée par plusieurs personnes excitées et déchaînées qui se succèdent sans aucune délicatesse dans tous mes orifices. Je hurle mon plaisir me faisant défoncer la chatte et le cul à la chaîne.
Je ne sais plus combien de temps je suis restée là, dans les toilettes. Je suis dans un autre monde, mon monde avide de sexe. Quand ils viennent me chercher, ils me trouvent à même le sol, dégoulinante de sperme.
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